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Les offres classiques et... les Ateliers à projets
vendredi 10 février 2012, par
Il y a presque autant de façons de s’y prendre que d’entrepreneurs. Et la seule bonne méthode… c’est celle qui marche pour vous !
On peut s’y prendre :
tout seul ;
grâce aux compétences acquises dans son réseau familial ou amical ;
dans une couveuse d’entreprises ;
dans un organisme de portage salarial ;
dans une pépinière d’entreprises ;
grâce à du coaching (ou mentorat) ;
avec l’appui d’un bon expert comptable ;
avec un business angel ;
en faisant une formation de la Chambre des métiers ;
ou l’une de celles de la CCI ;
avec l’aide du Centre de Formalités des Entreprises (CFE) ;
ou d’un autre organisme de conseil ;
grâce aux sessions de formation de la Maison de l’emploi ;
en devenant auto-entrepreneur en ligne ;
en faisant une formation de l’AFPA ;
en ayant fait une formation à une profession artisanale ;
ou en sortant bardé de diplômes d’une école de management ;
ou encore en ayant fait un BTS dans les domaines du commerce ;
ou en s’étant fait la main dans une junior entreprise d’une école d’ingénieurs ;
grâce aux aides de Pôle Emploi ;
ou celles de l’ADIE ;
et on l’oublie trop souvent, en reprenant une entreprise plutôt que de partir de zéro, grâce aux conseils du cédant ;
grâce à des sites en ligne : APCE, les Boutiques de gestion, voir notre liste ;
…
D’autant qu’on n’a pas forcément : les sous pour payer certaines prestations de conseil (l’offre correspondant à des modèles économiques trop chers) ;
le temps où l’âge pour intégrer un cycle de formation ;
l’envie d’être chaperonné (on est pas des gamins, on a déjà pas mal d’expérience, l’habitude de se débrouiller) ;
un projet assez classique pour susciter la confiance des financeurs ;
le réseau nécessaire pour entrer dans le circuit ;
…
Et puis une fois lancé : on n’y arrive pas, faire le travail commercial, son métier en lui-même et répondre aux clients, faire la compta, aller chercher les sous auprès de ceux qui mettent du temps à payer, etc. c’est trop ;
on se fait avoir par des gens qui en affaires ont, disons… d’autres sortes de scrupules ;
l’offre ne trouve pas son marché ;
on est trop cher, ou ce qui revient presque au même, elle demande trop de travail ;
on comprend plus tard qu’on était trop accroché aux idées qu’on s’était faites avant de commencer ;
on n’a pas été assez souple, opportuniste ;
la paperasserie, les formalités, en gênent et en submergent plus d’un ;
…
C’est là qu’il faut penser aux « Ateliers à projets » : une méthodologie et de l’expérience ;
un espace de coworking où se poser ;
des ateliers thématiques pour apprendre des compétences nouvelles.
Pour continuer l’exploration voyez : La méthodologie des « Ateliers à projets »